Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 décembre 2008 2 30 /12 /décembre /2008 19:34

J’avais déjà beaucoup entendu parler de Marjane Satrapi, mais je n’avais jamais lu une de ses BD. C’est chose faite depuis hier, avec Persepolis 1, trouvé à la médiathèque.

Avec lucidité et humour, Marjane retrace son enfance en Iran, au moment où le Shah, qui avait instauré un régime dictatorial, quitte l’Iran. Il est remplacé par l’ayatollah Khomeini qui instaure une république islamique.

Au fil des manifestations, des discussions politiques, Marjane découvre le port du foulard, la fin des écoles mixtes, la torture des opposants au régime, la mort de son oncle…

J’ai aimé le ton franc et sans concession d’une petite fille de dix ans qui pose un regard lucide sur le monde qui l’entoure.


Partager cet article
Repost0
16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 19:10


Taylor Greer
a 23 ans quand elle décide de quitter sa mère et son Kentucky natal pour tenter l’aventure sur la côte ouest. Pourtant, dès l’Oklahoma, le destin va lui jouer un tour à sa façon : sur le parking d’un bar, au milieu de nulle part, une femme cherokee lui confie une petite fille de deux ou trois ans et disparaît sans se retourner.

 

Encombrée d’un enfant qui lui tombe du ciel (elle qui s’est toujours félicitée d’avoir terminé sa scolarité sans tomber enceinte, comme la moitié des filles de son âge), Taylor échoue dans une ville de l’Arizona, Tucson, et se lie d’amitié avec Mattie, propriétaire d’un garage et qui accueille des réfugiés clandestins. C’est là qu’elle pose ses valises avec la petite Turtle, devenue sa fille adoptive. Chez Lou Ann et son bébé, elles trouvent un foyer accueillant.

 

Naïve mais dégourdie, Taylor s’installe peu à peu dans cette petite ville tranquille, tout en travaillant dans le garage de Mattie. Toutefois, rien n’est simple et Taylor découvre peu à peu la dureté de la vie : ses nouveaux amis, Estevan et Esperanza, temporairement hébergés par Mattie, ont  fuit le Guatemala et ne sont plus en sécurité ; ils risquent d’être renvoyés dans leur pays où ils sont en danger de mort s’ils ne trouvent pas une autre cachette ; quant à Taylor, rien ne prouve qu’elle a le droit de garder Turtle, et les lois de la nation cherokee priment sur celles des Etats-Unis et remettent en question son droit à élever Turtle.

 

Merci à Alexandra qui m’a fait découvrir ces romans ; deux tomes (« L’arbre aux haricots » et « Les cochons au paradis »), 760 pages d’une lecture savoureuse nous plongent dans une Amérique chaleureuse, loin des clichés hollywoodiens, avec des personnages attachants et originaux.

 

Barbara Kingsolver est une romancière américaine. Elle vit à Tucson (Arizona) et elle a écrit plusieurs autres romans. Pour en savoir plus, cliquez ici.

 

Crédit photos : éditions Rivages Poche, Amazon.fr,

 

Partager cet article
Repost0
14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 09:30

Ce n’est pas tant le temps qui me manque, que ma capacité à libérer mon esprit pour écrire mes chroniques. Je traine dans ma besace trois films que j’ai beaucoup aimés et dont j’aurais voulu vous parler avec mon cœur, mais je ne trouve pas les mots. Heureusement, Allociné est là et me fournit la matière grâce à un site qui ressemble à une mine d’or… Cliquez sur le titre pour accéder à toutes les infos sur le site.

 

 

Parlez-moi de la pluie

« Agathe Villanova, féministe nouvellement engagée en politique, revient pour dix jours dans la maison de son enfance, dans le sud de la France, aider sa sœur Florence à ranger les affaires de leur mère, décédée il y a un an. Agathe n'aime pas cette région, elle en est partie dès qu'elle a pu. Mais les impératifs de la parité l'ont parachutée ici à l'occasion des prochaines échéances électorales.
Dans cette maison vivent Florence, son mari, et ses enfants. Mais aussi Mimouna, femme de ménage que les Villanova ont ramenée avec eux d'Algérie, au moment de l'indépendance. Le fils de Mimouna, Karim, et son ami Michel Ronsard entreprennent de tourner un documentaire sur Agathe Villanova, dans le cadre d'une collection sur "les femmes qui ont réussi".
On est au mois d'Août. Il fait gris, il pleut. C’est pas normal. Mais rien ne va se passer normalement. »

 

Le sel de la mer

« Soraya, 28 ans, née et élevée à Brooklyn, décide de rentrer s'installer en Palestine, le pays d'où sa famille s'est exilée en 1948. Dès son arrivée à Ramallah, Soraya cherche à récupérer l'argent de ses grands-parents gelé sur un compte à Jaffa mais elle se heurte au refus de la banque

 Sa route croise alors celle d'Emad, un jeune Palestinien qui, au contraire d'elle, ne souhaite qu'une chose, partir pour toujours. Pour échapper aux contraintes liées à la situation du pays mais aussi pour gagner leur liberté, Soraya et Emad devront prendre leur destin en main quitte à transgresser les lois.

Dans cette course à la vie, ils nous emmèneront sur les traces de leur Histoire en Palestine perdue. »

 


 

Séraphine 

« En 1912, le collectionneur allemand Wilhelm Uhde, premier acheteur de Picasso et découvreur du douanier Rousseau, loue un appartement à Senlis pour écrire et se reposer de sa vie parisienne. Il prend à son service une femme de ménage, Séraphine, 48 ans.
Quelque temps plus tard, il remarque chez des notables locaux une petite toile peinte sur bois. Sa stupéfaction est grande d'apprendre que l'auteur n'est autre que Séraphine. S'instaure alors une relation poignante et inattendue entre le marchand d'art d'avant-garde et la femme de ménage visionnaire. »

 


 

Partager cet article
Repost0
30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 12:00

 

Son enfance et son adolescence, Mariam les vit seule avec sa mère à l’écart d’un village. Son père vit au village avec ses trois épouses et leurs nombreux enfants, et il vient la voir une fois par semaine. Fille illégitime, Mariam n’a pas l’autorisation de lui rendre visite chez lui car, ni sa mère, à moitié folle, ni son père, lâche face à la volonté de ses épouses, ne lui accordent ce plaisir.

 

Quand sa mère meurt subitement, Mariam se retrouve mariée très rapidement à un veuf de trente ans son aîné, et elle découvre la violence conjugale, d’autant plus qu’elle n’arrive pas à avoir d’enfant et que son mari applique à la lettre la loi islamique. Dix-huit années passent et, peu à peu, l’Afghanistan se retrouve à feu et à sang ; la vie devient très difficile, et après l’explosion d’une bombe à côté de leur maison, ils recueillent Laïla, une jeune voisine, qui devient rapidement la deuxième épouse et se retrouve enceinte.

 

D’abord considérée comme une ennemie par Mariam, Laïla va progressivement gagner son cœur et elles vont tenter d’unir leurs forces et leur courage pour résister à un mari brutal. Après une tentative de fuite échouée, leur avenir est incertain, mais leur volonté d’émancipation reste intacte...

 

Khaled Hosseini est l'auteur du roman à succès "Les cerfs-volants de Kaboul" dont je vous ai parlé en mars dernier.

 

  

 

Partager cet article
Repost0
29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 21:33

 

India Dreams est une aventure familiale qui implique trois générations de femmes dans l’Inde coloniale, la décolonisation et ses conséquences. En 1945, Emy, jeune anglaise au service de l’armée britannique, reçoit la visite d’un ami d’enfance, fils de maharadjah, qui lui remet le journal intime de sa mère, disparue en Inde dans des conditions mystérieuses, peu après la mort de son époux, capitaine de l’armée coloniale. Ce cahier fait plonger Emy dans les secrets d’Amelia et sa découverte de l’Inde où se mêlent la sensualité, la politique et la réalité d’une Inde aux mille visages.

 

Contrainte de retourner sur les lieux de son enfance, Emy va découvrir que la vérité est bien différente de ce qu’on lui a raconté, et que dans l’Inde qui s’émancipe, il lui sera difficile de trouver sa place. C’est sa fille, Kamala, qui réussira à trouver la solution aux mystères familiaux et à prendre une place légitime dans la société indienne.

 

En quatre tomes, ce récit passionnant et merveilleusement illustré dévoile une Inde terriblement séduisante et dangereuse. Maryse et Jean-François Charles réussissent à captiver leur lecteur à chaque page. Les dessins sont splendides.

 

Un cinquième tome retrace le portrait de chacune des trois femmes, vu par Kenneth Lowther, mari d’Emy et père de Kamala.

 

Auteurs : Maryse et Jean-François Charles

Editions Casterman

Crédit photos : http://www.amazon.fr

Partager cet article
Repost0
25 octobre 2008 6 25 /10 /octobre /2008 06:00

Nan (diminutif de Nancy), Karen et Charlotte, trois générations de femmes, vivent sous le même toit.


Nan
a un peu plus de soixante-dix ans, est veuve d’un mari qu’elle adorait, et mère adoptive de Karen ; elle perd un peu la tête et est de plus en plus dépendante.

Karen, trente-trois ans et pleine d’amertume, est séparée depuis longtemps de Steve, le père de sa fille Charlotte, et travaille à temps partiel dans un établissement scolaire ; le reste du temps, elle s’occupe de sa mère, et bien sûr, de sa fille.

Charlotte, seize ans, est une adolescente identique aux autres, rebelle mais écolière brillante, qui tombe enceinte d’un copain d’école (qui la laisse tomber comme une vieille chaussette !).

Cette chronique familiale très drôle évoque tous azimuts des sujets de sociétés : l’adoption, la famille monoparentale, les relations difficiles entre les hommes et les femmes, les pères génétiques et les pères adoptifs, la difficulté de communication entre les générations, la culpabilité des mères et les cris d’appel au secours des filles, tout cela avec émotion et humour, sans jamais sombrer dans le mélo.

Une année dans la vie de ces femmes, servie par une écriture ciselée, avec les points de vue (diamétralement opposés) des trois femmes, et des personnages exquis, hilarants parfois, mais toujours très sensibles.

 

Tout sur l'auteur de ce petit bijou, Kate Long, en cliquant ci-dessous pour le lien vers son site :

 

http://www.katelong.co.uk/index.htm

 

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2008 4 09 /10 /octobre /2008 06:00

Ce film fait beaucoup parlé de lui, d’une part parce qu’il a eu la palme d’or à Cannes, et d’autre part parce que l’enseignement est toujours un sujet sur lequel tout le monde a un avis.

Je travaille dans l’enseignement et ce que j’ai vu dans ce film m’a bien entendu touchée. Je me suis dit : « Si ça se passe comme ça, je ne sais pas si je serais capable d’enseigner en collège. » C'était une réaction à la façon dont les élèves envisageaient l'école et leur place dans le système, à la vitalité et le mal-être qu'ils dégageaient parfois. Mais je m’en suis tenue à cette impression qui n’engage que moi.

J’ai entendu des commentaires critiques sur le comportement des élèves, ou sur celui de l’enseignant, sur le point vue très subjectif, incomplet du réalisateur, et je n’avais pas d’opinion à ce sujet.


J’ai aimé le film parce qu’il m’offrait justement un point de vue personnel et qu’il n’y avait aucune leçon à en tirer si ce n’est que les limites du rôle d’un enseignant sont floues et que sa relation avec ses élèves n’est jamais simple. Travailler à la construction morale et culturelle des individus est une tâche colossale ; elle demande sans cesse de se poser des questions, de prendre du recul. Aucun être n’est identique aux autres et, en ce qui concerne les adolescents, ils ont tellement de préoccupations bien légitimes et très diverses que dans l’immense magma que constitue toutes les questions qu’ils se posent, je pense qu’ils ont parfois plus de mérite qu’on le croit.

Allez voir le film, sans arrière pensée et sans préjugé, pour le plaisir.

Partager cet article
Repost0
6 octobre 2008 1 06 /10 /octobre /2008 06:00

Je ne vous répéterai pas à quel point je suis heureuse d’habiter à côté de Questembert, et donc à moins de 10 minutes d’une super salle de cinéma. J’aurais trop peur de vous lasser… (ha! ha! ha!)



Depuis que j’ai ma carte de 10 entrées pour 48 euros (je sens à quel point vous êtes jaloux !), je m’offre le luxe d’une séance par semaine, et mercredi soir, j’ai vu Be happy, (Happy-Go-Lucky, en anglais) de Mike Leigh. Je ne connais pas du tout ses films, mais d’après ce que j’ai lu, ce dernier tranche vraiment avec tous les précédents, grâce au personnage étonnant de Poppy (Sally Hawkins, excellente, prix de la meilleure actrice au festival de Berlin), jeune femme de trente ans résolument optimiste.

Voici mon résumé : « Poppy est une jeune enseignante d’école primaire drôle et extravertie, très attentive à ses élèves et à ses collègues  qui semblent l’apprécier beaucoup. Célibataire, elle vit en colocation avec son amie Zoé, enseignante elle aussi. Très enjouée, heureuse de vivre, elle se sent investie de la mission (impossible) de rendre tout le monde heureux autour d’elle, et elle y travaille avec détermination. Ses “cibles” sont aussi bien ses  proches plus ou moins coopératifs (ses sœurs, ses collègues) que des inconnus (un libraire à Camden, son moniteur d’auto-école, un clochard étrange) et leur résistance à sa bonne humeur ne la décourage pas. Elle cherche constamment à vivre pleinement chaque seconde de sa vie (en faisant du trampoline et du flamenco) et à toujours voir le côté positif de chaque événement (on lui vole son vélo, elle décide d’apprendre à conduire). Rien ne semble pouvoir entamer sa bonne humeur (excessive ?) »

Je suis ressortie de la séance assez contente. Les critiques entendues sur Le masque et la plume (France Inter, le dimanche soir) étaient assez négatives ; les termes tels que “niais”, “puéril”, et autres gentillesses avaient émaillé les commentaires. Bien sûr, c’est loin d’être le film du siècle. Je dirais plutôt qu’il est sympa, et vraiment, ça fait du bien !

Poppy cherche à tout prix à rendre tout le monde heureux autour d’elle, elle déploie des trésors de patience, de malice et de tendresse pour faire sourire des londoniens aussi aimables que des portes de prison. Elle cherche vraiment à trouver le meilleur dans chacune des personnes qu’elle croise. A noter qu'elle a un look d'enfer, genre années 80, avec des bottes ringardes au possible, mais c'est comme ça qu'on l'aime!

Mieux qu’un beau discours, une philosophie de la vie à garder en mémoire !

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 06:00

En pensant à Péroline…



Aya
, jeune ivoirienne de 19 ans, vit à Abidjan avec ses parents, Ignace et Fanta, son petit frère Fofana et sa petite sœur Akissi. Ils habitent dans le quartier populaire de Yopougon ou « Yop city », pour faire américain.

Aya est sage, raisonnable et studieuse, elle refuse de parler aux garçons qui l’interpellent dans la rue et envisage de devenir médecin. Bien sûr, son père ne voit pas ses projets d’un très bon œil car il préfèrerait qu’elle épouse Moussa, le fils de son patron.

Aya a deux amies, Bintou et Adjoua, beaucoup moins sérieuses qu’elle ; elles aiment sortir, aller dans les “maquis” (restaurant pas cher où l’on peut danser) avec des “génitos” (jeune homme qui a de l’argent à gaspiller). Quand Adjoua tombe enceinte, un vent de panique souffle sur Yop city…

Il existe pour l’instant trois volumes des aventures d’Aya. Je n’ai lu que le premier car les deux autres n’étaient plus en rayon à la médiathèque. J’espère les y retrouver bientôt car j’ai hâte de connaître la suite…


Ecrite par Marguerite Abouet et dessinée par Clément Oubrerie, cette B.D. a obtenu le Prix du premier album, en 2006, au festival de la B.D. d’Angoulême. On y retrouve le parler africain avec, en fin d’album, un lexique, une recette de cuisine, une recette de boisson au gingembre (si c’est le même que fait M’Boumba à Saint-Amand, j’adore !!!), une façon de nouer un pagne et de marcher pour faire tomber les “génitos”
Partager cet article
Repost0
2 octobre 2008 4 02 /10 /octobre /2008 06:00

George Sand, par Auguste Charpentier (1838)

Pour moi qui suis originaire du Berry, George Sand (1804 - 1876) fait partie des auteurs incontournables. J’ai lu “La petite Fadette”, joué dans “La mare au diable” (Petite Marie) et dans “Les maîtres Sonneurs” (Brûlette) au Livre vivant de Vesdun et j’ai visité plusieurs fois sa maison à Nohant (tu te souviens Shaliane ?).

Pourtant, ce ne sont pas ses écrits que me plaisent le plus. En fait, j’admire surtout cette femme pour ses engagements politiques : féministe avant l’heure, libre et courageuse, elle écrivait tous les jours (et parfois les nuits) pour gagner sa vie.

Séparée de son mari Casimir Dudevant, elle aura plusieurs amants, tant dans le monde artistique (Jules Sandeau, puis Alfred de Musset et enfin Frédéric Chopin) que parmi ses admirateurs moins illustres.

Connu pour ses écrits régionaux, notamment au sein de l’école de Brive, et pour des biographies de personnages historiques, Michel Peyramaure dresse d'elle un portrait très réaliste d’une femme du XIXème siècle anticonformiste. Une lecture passionnante !

Voilà ce qu’en dit la quatrième de couverture :

« Georges Sand a le romantisme et la passion dans le sang. Elle est aussi une dévoreuse d’hommes, un monstre de travail, une ogresse travestie en garçon, une pasionaria socialiste et, vers la fin de sa vie, une “bonne dame” adorée dans son refuge de Nohant.

George Sand, prise en photo par Félix Nadar (1864)

Quand elle rencontre Musset, à trente-trois ans, elle décide d’inscrire le jeune et imprévisible dandy à son tableau de chasse. A la fête parisienne succèdent vite les orages et l’enfer de Venise. Musset boit, délire et s’ennuie. Sand l’oubliera alors avec un autre génie. Il est étranger, il est blond et tuberculeux. Il s’appelle Chopin. Elle enlève son pianiste et l’emmène passer l’hiver aux Baléares. Là, une fois de plus, l’aventure va tourner au drame.

Le poète et le compositeur, George Sand les a aimés, amante et mère à la fois. C’est ensemble qu’ils sont entrés dans l’Histoire. »



Pour les auteurs de nouvelles, il existe également un concours qui porte son nom, Concours Littéraire Francophone de la Nouvelle George Sand, qui a lieu au mois de mai.
 

Partager cet article
Repost0